Musique : sélection Lucky Records été 2025

Lucy Records

Addison Rae - Addison

Révélée sur TikTok à la fin des années 2010, Addison Rae a longuement travaillé sur son premier album, dévoilant au fil des mois des pépites comme “Diet Pepsi” et “Headphones on”. Single par single, elle a conquis les fans mais aussi les critiques, avec un style qui rappelle la Madonna de "Bedtime stories" autant que celle de "Ray of light", sans oublier les influences de Lana Del Rey et Bjork. La production est soignée, les mélodies subtiles, et le résultat est bien meilleur qu’attendu. La bonne surprise de l’été.

 

 

 

 

 

 

Lorde - Virgin

Quatre ans après “Solar Power”, un album qui n’a pas rencontré son public, Lorde est de retour avec “Virgin”, son quatrième opus. La chanteuse néo-zélandaise a fait un intense travail d’introspection et revient mieux dans sa peau, avec des titres qui évoquent notamment son identité de genre, comme le single “Man of the year”. Accompagnée de nouveaux producteurs, elle n’a pas pour autant oublié comme écrire un tube, comme l’atteste “What was that”, premier extrait électrique.

 

 

 

 

 

 

Benson Boone - American Heart

Son tube “Beautiful things” passe encore en boucle en radios et domine toujours les charts du monde entier, un an et demi après sa sortie, mais Benson Boone n’a pas chômé depuis. Emmené par le single “Sorry I’m here for someone else”, l’album emprunte la même direction pop/rock que son prédécesseur, même s’il s’offre quelques libertés supplémentaires, comme sur le deuxième “Mystical magical”, qui sample “Physical” d’Olivia Newton-John !

 

 

 

 

 

 

Kesha - (Period)

Retour aux sources pour Kesha ! Après le sombre et déroutant “Gag order”, la chanteuse américaine proclame sa libération sur son sixième album. Son procès avec Dr Luke derrière elle, l’interprète de l’inoubliable “TikTok” dévoile un disque pop, frais et taillé pour la fête. Le single jouissif “Joyride” avait donné le ton dès l’été dernier, et la suite s’avère à la hauteur, qu’il s’agisse de l’hymne festif “Yippee-Ki-Yay” ou du survolté “Boy crazy”.

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