Force est constater qu’au niveau national, les autorités font peu de cas des excès du chemsex. Selon l’étude ERAS 2024, 14 % des HSH déclarent y avoir recours.
Sans stigmatiser mais dans le but d’accompagner, nombre d’associations ont pris ce problème à bras le corps. C’est le cas d’ENIPSE qui lance la campagne nationale : « sexe sous prods, on en discute ? ». Avec ce dispositif, l’association souhaite :
• donner des clés de compréhension aux personnes concernées et à leurs proches,
• encourager l’entraide et l’écoute,
• outiller les partenaires associatifs, commerciaux et institutionnels pour mieux intervenir,
• favoriser l’accès aux dispositifs d’écoute, de soutien et de réduction des risques.
Bien sûr, on reste toujours dans l’attention, le conseil, la confidentialité et la bienveillance. Si vous vous sentez concerné, allez sur enipse.fr.
