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  • Ce célèbre dessin animé anglais pour les tout-petits a introduit une famille de deux mamans ourses polaires de la petite Penny : « je vis avec ma maman et mon autre maman ». Cette nouveauté fait suite à une pétition américaine réclamant une famille homoprentale, qui avait récolté 24000 signatures. Les concepteurs ont eu a cœur de montrer la réalité. Espérons que les diffuseurs de cette série, qui s’exporte dans 180 pays, n’imposeront pas de censure.

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  • Alors que la chanteuse avait sorti un mini-album prénommé « L’EP », il y a de cela quelques mois contenant quatre titres, la sortie de son nouvel album a été annoncé pour le 2 décembre. Il est baptisé « Aile-P », jeu de mot avec LP -long-play, ndlr-. Mais attention : ce nouveau recueil musical, sera composé exclusivement de 8 titres au total aussi « légers que graves » comme elle l’a précisé dans une note à l’attention de ses fans. 

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  • Games of Thrones montre pléthore de personnages LGBTQI. On se souvient de Renly Baratheon et son chevalier servant Lores Tyrell. Le spin off House of the Dragon n’y coupe pas : dans l’épisode 3 apparait Laenor Velaryon, promis à épouser Rhaenyra (une femme) mais qui tombe dans les bras de son favori. A suivre sur OCS.

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  • En Australie, l’underground Club 77 a annoncé cet été via un communiqué Instagram une politique de tolérance zéro pour faire du lieu, un espace le plus safe possible. Et cela passe par un consentement préalable sur l’ensemble des interactions entre les personnes. Ainsi même les regards insistants non désirés sont passibles d’une expulsion instantanée. Cette règle connue sous le nom d"Anti-creepy" en France implique qu’observer quelqu'un.e avec insistance ou de manière fixe et répétée requiert aussi le consentement de la personne observée. Cela vient compléter l’arsenal de prévention et de réduction des risques tel que le fait de suivre partout une personne ou de la coller de près s’il n’y a pas de signe de consentement éclairé de sa part. Mais avouons, pour ce qui est du regard, ça risque d'être un peu plus compliqué et générateur de situations ou l'arbitrage est parfois complexe, avec quelle légitimité ?

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  • Marvel continue sa révolution queer : la maison de production a annoncé l’arrivée prochaine d’une version alternative de l’homme-araignée, pour la première fois de son histoire. Il s’appelle Web-Weaver (« faiseur de toiles » en français), costume jaune très haute-couture, efféminé, il se fait piquer par une araignée radio-active à la place de son camarade de classe, qui n’est autre que Peter Parker lui-même. S’en suivrait une relation tendue avec ses parents, qui semblent le mettre à la porte, avant qu'il ne soit recueilli par un couple lesbien. Steve Fox, le concepteur, a anticipé d’éventuelles critiques sur le côté stéréotypé du personnage : « il ne peut pas – et ne doit pas – représenter tous les hommes gays. Un seul personnage n'en est pas capable ». Edge of Spider-Verse #5 est pour l’instant sorti en anglais ici.

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  • Qui est Sylvio B. ?

    Je suis dj et producteur de musique. Je suis né et j’ai grandi en région parisienne. Après avoir écumé les clubs de la capitale et d’Allemagne, j’ai été adopté par la communauté queer de Hambourg et notamment par la dj allemande Saeleen Bouvar (d’où le «B» dans Sylvio B) qui est devenue ma mentor et m’a appris les bases du djing. J’ai ainsi fait ma première date clubbing en tant que dj au Kampnagel à Hambourg en jouant un set electroclash. Depuis j’ai joué dans de nombreux lieux queer à Paris (Mustang, Jim-club, COX, Les Souffleurs, Quetzal, Beautiful Skin...), en Allemagne (Fusion festival 2022) et aux Pays-bas (Pamela Amsterdam). Je joue principalement de la house, du voguing et de l’electroclash. 

    En parallèle du djing, je produis des titres orientés vocal house. J’ai notamment sorti le titre «Turn me out» sur les Disques du Lobby l’année dernière. 

    Parle nous de ce qui te fait vibrer derrière les platines ? 

    Quand je suis derrière les platines je raconte une histoire. J’aime mélanger les styles et les époques autour d’un fil conducteur. Je suis un grand fan des mash-ups également. 

    Qu’est ce qui te booste actuellement comme tracks ? 

    En ce moment j’écoute le dernier album de Nomi Ruiz «Hi-Def Femme». J’ai eu l’occasion de la rencontrer dans le cadre de l’organisation de Transtronica (festival de musique en Allemagne avec une line-up 100% trans/non-binaire) et je suis fan de ses titres depuis que je suis ado. Son dernier album est magnifique, je recommande. 
    Sinon j’écoute pas mal Perel aussi en ce moment.

    Quelle est ton actualité en ce moment ?

    Je joue toujours sur Paris ainsi qu’en Europe. J’ai plusieurs tracks qui vont sortir très prochainement (novembre/décembre), incluant des remixes et des titres originaux. J’ai par exemple un titre qui va sortir sur la compilation various artist de LDMTrecords, le label de Less Drama More Techno avant la fin de l’année. 

    Mes mixes sont sur Soundcloud.

    On te retrouve où prochainement ? 

    Je serai en live sur Rinse France le vendredi 25 novembre pour la résidence de Dj Monique. Je jouerai également à Berlin le jeudi 5 janvier 2023 pour la soirée House of Shame au Suicide club.

    Des projets à venir ? 

    Sortir mon premier EP l’année prochaine.

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  • N°1 techno

    Son nom est la référence ultime en termes de sets techno à travers le monde. Lorsqu’elle se met derrière les platines, on a l’impression d’être en procession avec des milieux de fidèles qui sur ses rythmes saccadés, sont tout simplement hypnotisés, bougeant sur son flow percutant qui fait bouger des foules aux quatre coins du monde. Elle, c’est la DJ belge, Charlotte de Witte qui vient pour la 3ème année consécutive d’être élue meilleure DJ techno au monde. On vous invite à découvrir ses mixes sur son Soundcloud.

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  • De Glee à Pose, de The Watcher à Dahmer, l’américain Ryan Murphy est connu pour mettre du LGBT dans tout ce qu’il réalise et produit. Pour la 11e saison de l’incontournable série American Horror Story : NYC, annoncée comme étant "une saison pas comme les autres", il nous entraîne dans le milieu BDSM, fétichiste. Une voie qu’il avait déjà abordée avec Zachary Quinto.

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  • Vincent Cordier est connu pour sa qualité d’écriture. Sur scène depuis plus d’un an, il donne la réplique à son binôme Fabrice Pannetier, dans un texte de son cru, écrit au cordeau autour de situations absurdes et désopilantes dans la pièce Les Fous Alliés, chaque lundi soir au Théâtre du Marais. Mais saviez-vous qu’il vient de sortir son premier album de chansons intitulé sobrement « Amoureux ». Onze titres qui sont autant de façons de vivre la polyphonie de l’Amour. Vincent est de ces personnes qui, au gré de sa voix, vous transporte, vous touche, vous surprend, vous émeut… Bien plus qu’un recueil de chansons romantiques, chacune d’entre elles est un voyage, un abandon, une complainte, un aveu qui prend forme comme le ferait un film au cinéma. Prenez place, fermez les yeux, appuyez sur play.

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  • Vera de Scooby-Doo

    Il y a fort à parier que peu d’entre nous, élevés aux épisodes de Scoobi-Doo, soient passés à côté de l’information selon laquelle Véra pouvait être lesbienne. Comme une évidence, celle qui n’a jamais fait son coming out dans le dessin animé se voit officiellement représentée comme lesbienne dans le nouveau film d’animation qui nous fait vivre de nouvelles aventures de la bande à la camionnette. Dans Trick ou Treat Scoobi-Doo, Véra, la tête à penser, tombe amoureuse d’une autre femme. Les choses sont dites. 

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