Thèmatiques
Articles | Brèves
  • GLS (Rennes) et les 3 autres associations de l'Ouest (BAG Nantes, GLAM Angers et Tours'Angels) s’unissent pour une semaine de ski du samedi 8 au dimanche 16 mars 2025. Pour les sportifs : ski alpin, ski de fond, raquettes, randonnée et bien sûr pour tous, activités en soirée. Ca se passera aux 2 Alpes pour un tarif défiant toute concurrence : 450€ en all inclusive sur place. Les assos ont même prévu un car qui passera par Rennes, Nantes, Angers et Tours (125€ aller-retour). On fonce ! 

    www.glsrennes.net

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  • Quand on s’unit, on est plus fort ! L’association Dragnini pourrait faire de cet adage son slogan. Ce collectif de soutien aux drags Kings & Queens est très actif sur les scènes montpelliéraine et nîmoise en organisant de nombreux événements. On peut retrouver Foxxy, Mona et leurs acolytes notamment au bar Kay West. Le collectif a même créé un « album Dragnini » sur le modèle de nos albums Panini d’enfance, histoire de soutenir et financer ses projets.

    instagram.com/dragnini_mtp

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  • Saint-Quentin :festival Fier.e.s et queer

    théâtre, Littérature-Librairie

    La 6ème édition du festival de l’association aura lieu du 7 au 12 mars 2025. Au programme : spectacles, ciné-débat, table ronde, conférences, 3 expositions, lecture théâtralisée. Les organisateurs mettent un point d’honneur à représenter toutes les composantes de la communauté LGBTQIA+.

    Infos ici.

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  • Après le succès de ses précédents projets, David Kadouch dévoile Amours interdites, un album qui réunit les œuvres de sept compositeurs et compositrices homosexuels. De Francis Poulenc à Piotr Ilitch Tchaïkovski, Kadouch s’interroge sur la manière dont leurs amours cachés, souvent réprimés, influencent leur musique.

    Le pianiste, qui a toujours été fasciné par les histoires d'amour en musique, a voulu mettre en lumière des relations homosexuelles souvent ignorées. « Je ne voulais pas faire un simple pot-pourri », confie-t-il sur France Musique.  Son choix s’est porté sur des artistes qui ont exprimé leur orientation à travers leurs lettres.

    La correspondance de Tchaïkovski avec son frère Modeste, par exemple, révèle une souffrance poignante liée à son identité. Le musicien fait également honneur à des compositrices méconnues comme Ethel Smyth, dont une pièce évoque son amour pour la femme de son professeur. « Ce sont des témoignages de création envers et contre tout », souligne-t-il.

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  • Emmanuel Grégoire, le député socialiste et apparentés, ancien 1er adjoint de la Maire de Paris a été élu co-président du groupe d’études sur les discriminations et les LGBTQI-phobies de l’Assemblée nationale. Il explique sur ces réseaux sociaux qu’« il y a urgence à se mobiliser pour faire reculer les actes LGBTQI-phobes. Cela passe par la prévention, l’accompagnement des victimes, la sensibilisation des institutions publiques et privées et la garantie de l’effectivité des droits. La lutte contre les discriminations, sous toutes ses formes, est un combat essentiel pour une République fidèle à ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ».

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  • Oubliez la passion amoureuse, estivale et déchirante du jeune Elio dans le Nord de l’Italie de Call me by your name ou le trio torride et toxique qui se déchire au fil des tournois de tennis de Challengers, le nouveau film de Luca Guadagnino est encore un cran au-dessus !

    Avec cette adaptation d’une nouvelle de William S. Burroughs, auteur-phare de la Beat Generation, le cinéaste offre à Daniel Craig le rôle de Lee, vieil homo américain qui vit sa vie de bohème au Mexique entre vapeurs d’alcool, abus de substances en tous genres et drague éperdue de jeunes hommes, souvent professionnels du sexe tarifé. A travers sa rencontre avec le jeune Eugene, lui aussi américain expatrié dans la ville de Mexico, Queer raconte la solitude de ce vieil homo, alcolo, junkie et désabusé, qui se retrouve démuni face à son désir pour ce jeune homme bien sous tous rapports.

    Guadagnino explore plus que jamais, dans ce grand film à l’esthétique renversante, les affres de la sexualité gay, des addictions et de l’obsession. La longue scène qui montre Lee, bière à la main et clope à la bouche, s’injectant sa dose, face caméra au rythme du Leave me alone de New Order est à la fois choquante, bouleversante et sublime. Collant au plus près au style déroutant et chaotique de l’écrivain qu’il adapte, il réalise avec Queer un véritable trip moite et halluciné vers un hypothétique nirvana, un film fascinant qui a tout pour devenir culte.

    Queer, un film de Luca Guadagnino avec Daniel Craig, Drew Starkey, Jason Schwartzman… En salles le 26 février.

    Crédit photo : Yannis Drakoulidis

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  • Les lieux queer et alternatifs se multiplient dans la capitale, tant mieux, d’autant que les événements proposés alternent la mixité choisie et non choisie, car il paraît paradoxal de prôner l’inclusion en excluant… Drag king & queen shows, marché de créateurs queers, mini bibliothèque queer, expos, débats féministes, on peut aussi s’y détendre en sirotant un cocktail.

    16 boulevard Paul Vaillant Couturier, 93100 Montreuil.

    instagram.com/montvenus.montreuil

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  • L’homosexualité est devenue un motif d’envoi au front en Ukraine, où les individus soupçonnés de cette orientation subissent des abus inimaginables aux dires de l’Agenzia Nova. Selon la chaîne indépendante russe Tv Dozhd, au moins sept cas d’hommes envoyés au combat ont été confirmés, dont un a perdu la vie, explique l’organe de presse italienne.

    Le régime de Ramzan Kadyrov utilise une méthode perverse : ces personnes doivent choisir entre un procès pour homosexualité ou rejoindre les lignes de front, où ils seraient utilisés comme « esclave sexuel » par les troupes. David Isteev, de l’ONG SK SOS, révèle que ceux qui refusent peuvent racheter leur liberté contre une somme exorbitante, entre 15 000 et 30 000 €.

    Les victimes, souvent terrorisées par les représailles, hésitent à se tourner vers les défenseurs des droits humains, craignant d'être trahies.

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  • Depuis le 2 avril, Vincent Lagaf fait son grand retour sur RMC Story avec la relance de Le Bigdil, jeu emblématique des années 2000. Ce come-back a su séduire un public nostalgique, mais il est aussi marqué par une controverse autour d'accusations de sexisme. Les « gafettes », assistantes emblématiques du jeu, sont de nouveau présentes, désormais équipées de micros pour répondre aux critiques selon lesquelles le programme rabaissait les femmes.

    Lors d'une interview à Ciné-Tv Revue, Lagaf a exprimé son agacement face à des attentes jugées excessives en matière d'inclusivité : « si on veut être dans la parité, il faudrait prendre un homme, une femme, un transgenre féminin, un transgenre masculin. Et puis une licorne, un frigo… Le délire va loin chez certains. Si je prends des hommes, on va dire que je suis démago. Si je mets des  drags-queens, on me dira que ça n’a rien à faire dans une émission que regardent les enfants. Il y a toujours des gens pour râler. Je m’en fous à vrai dire ».  Ses propos soulèvent des questions sur la perception de l'inclusivité et la position des animateurs face aux normes sociétales contemporaines.

    Bien que le public semble apprécier ce retour, Lagaf devra naviguer avec soin entre divertissement et exigences médiatiques, posant la question : jusqu'où un animateur peut-il aller avant de se heurter à la controverse ?

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  • Laijipa Naulivou, nommée directrice du rugby à la fédération fidjienne (FRU) le 1er février, a été remerciée le 5 février après des déclarations homophobes. Dans une interview au Fiji Sun, elle a déclaré : « je ne cautionne pas l’homosexualité des femmes dans le rugby ».

    Ces propos ont suscité une vive réaction, la FRU affirmant que ses commentaires « ne reflètent pas la position officielle ». L’ancienne internationale, a maintenu ses positions controversées, affirmant : « je me suis toujours prononcée contre cela, et je sais que je suis très impopulaire ». Elle a même suggéré d'écarter les femmes homosexuelles du rugby fidjien, arguant que « si cela affecte l’équipe, alors il faut l’enlever ». Sa vision a été alimentée par des allégations selon lesquelles la présence de joueuses homosexuelles aurait contribué à la mauvaise performance de l'équipe aux Jeux de Paris 2024 comme le rapporte le quotidien La Dépêche. Elle évoque un prétendu « problème gay » dans le rugby féminin, sans fournir de sources vérifiables. On ne pourra pas dire qu’elle n’a pas réussi un essai des plus expéditif ! 

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