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Articles | Brèves
  • Après plus de deux ans d’absence, la mythique soirée gay italienne Gorillas qui distille du bon son électro house et progressive revient les 20 mai et 17 juin. Après un dernier passage au Dépôt en janvier 2020, toute l’atmosphère électrique va s’emparer du Faust pour une nuit de folie douce, musclée et très poilue.  

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  • Retour au Rexy

    Il n’y a pas qu’after, il y a aussi before au 9 rue de la Grande Truanderie. Depuis la réouverture des discothèques, le Rexy a revu sa copie et propose de nouveaux rendez-vous du jeudi au samedi soir, avant bien sûr le célèbre after parisien La Secrète : Crazy Sexy le vendredi, Glitter party le samedi. Infos ici.

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  • A seulement 23 ans le jeune chanteur promet de faire sensation dans la section des Inouïs au prochain Printemps de Bourges. Pop, moderne, mais aussi pleins de références à la chanson françaises, ses titres ne sont pas sans rappeler ceux de Clara Luciani. Autodidacte, le jeune homme n’a appris la guitare qu’à 17 ans grâce à des tutos YouTube, puis le piano… pourtant lorsqu’il chante on peine à croire que sa formation n’est pas lyrique mais circassienne. Défense, son nouveau single, sent bon le non-binaire et le queer : « C'est quelque chose que j'applique dans ma vie de tous les jours. Je porte du vernis, je me maquille, je peux porter des chaussures à talons... J'ai envie de jouer avec ce côté genderless et androgyne. Je veux jouer avec les codes de la mode et pouvoir en faire une vraie proposition artistique. ». Oete n’est pourtant pas un chanteur militant (hormis peut-être pour son titre HPV) : « Pour moi, ma sexualité a la même importance que la couleur de mes yeux, ma taille ou ma pointure. Est-ce que le fait de faire 1m72 influence ma musique ? Non. Mais c'est certain que mon vécu en tant qu'homosexuel a pu me faire intérioriser des névroses, des carences, des souffrances qui vont ressortir en musique. ».

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  • Retour de la Love Parade à Berlin

    Show, Manifestation

    Strobo vous l’avait déjà annoncé il y a quelques mois : après 12 ans de disette, la Love Parade revient le 9 juillet à Berlin. Devenue le 2ème plus grand rassemblement musical mondial après le Carnaval de Rio, 2010 l’avait marquée au sang lors d’un mouvement de foule mortel. Les organisateurs ont récemment lancé le « Fundraving », une collecte de fonds ouverte aux ravers du monde entier qui a récolté 400 000 euros. 1 million de personnes sont attendues dans les rues de la capitale allemande. Infos ici.

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  • Alors que le nouveau titre de Kiddy Spread it met le feu aux dancefloors et que le monsieur offre une leçon de voguing dans les pages du Vogue Paris, c’est à Montpellier qu’il réserve l’une de ces premières dates de concerts. Entouré de ces danseurs, il va ambiancer la Halle Tropisme, une ancienne friche militaire transformée en espace culturel. Cloakroom invite Kiddy le 7 mai à un DJ set de folie… A ne manquer sous aucun prétexte. Infos ici.

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  • Berghain 3.0

    Pour les fanas des soirées berlinoises subversives, endiablées et pourtant si merveilleuses, un site internet a regroupé 13.000 tracks joués au Berghain et au Panorama bar. Dropped-in recense tous les morceaux du club trouvés sur Youtube et Soundcloud. Une option de recherche permet de trouver rapidement son artiste ou DJ préféré. Tout est gratuit ! Histoire de se souvenir ou se donner envie de la scène électro de la capitale allemande.

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  • Starmania 2022

    En 1978 un disque fait sensation :  Stramania. L’année suivante, l’adaptation sur scène en Opéra Rock par Michel Berger et Luc Plamandon remporte un succès hors norme. La première comédie musicale créée en français vient de voir le jour.  2 actes, une pléiade de chansons et de thèmes qui bercent nos mémoires s’empare du public, le tour est joué. Starmania est adapté, part en tournée, remonté, représenté. C’est la Scène Musicale qui accueillera l’événement musical de l’automne 2022 avant de repartir sur les routes de France à compter dé février 2023. Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte. Infos et résa ici.

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  • Nouveau venu dans l’univers de la pop LGBTQ+, le jeune Nicky Buell, fraîchement débarqué de Seattle commence à faire parler de lui bien au-delà des frontières américaines. Gay assumé jusqu’au bout des ongles, le jeune homme peroxydé nous délivre une pop déjantée et éclectique, teintée d’électro, qui ne serait pas sans nous rappeler un Bieber furieux biberonné à Justin Timberlake. Visuellement aussi, le moins que l’on puisse dire et que ça claque ! Son dernier clip « Boy Crazy » (sic) se fend de son lot de clichés prévisibles mais plutôt addictifs : univers halloweenesque, make-up outrancier, poses lascives et corps offerts aux mains enamourées. Si l’on peut, une fois encore, regretter l’usage un peu extrême de l’auto-tune, il demeure finalement un titre apte à enflammer les dancefloors.

    Né dans un milieu plutôt conservateur, le jeune Nicky est un autodidacte pur et dur. C’est à l’âge de douze ans qu’il fait l’acquisition de son premier clavier dans une friperie de Seattle. A l’adolescence, en lutte contre son homosexualité, il compose ses premiers titres sous forme de catharsis. C’est donc à la musique qu’il devra son salut, assortissant son coming-out d’un premier single baptisé « Thirsty ». De son propre aveu, s’assumer en tant qu’artiste gay fut une véritable libération.

    Fan de Billie Eilish, Ariana Grande, Remi Wolf et Bren Joy, Nicky Buell n’a qu’un seul souhait : que sa musique soit une validation de son identité queer et, par extension, que les filles et les garçons, quelque soit leur orientation, puisse danser et chanter sur sa pop libératrice. Un conseil qu’ils devraient être nombreux à commencer à suivre… L’avenir nous le dira !

     

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  • Ce beau livre de Mark Blake, journaliste rock, illustre de belle façon le roman de la vie du chanteur de Queen. De sa naissance en 1946 à Zanzibar jusqu’à sa mort tragique du sida en 1991, l’ouvrage-hommage présente beaucoup de photos et documents inédits. Il n’y en aura jamais trop pour Farrokh Bulsara (son nom de naissance).

    39€, éditions Place des Victoires.

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  • Le mouvement Rave

    Amis raveurs et amateurs de free parties, ne rater pas l’expo évènement Rave On qui s’installe au Point-Ephémère du 19 au 30 janvier. Grace à la contribution et la présentation du travail de 3 photographes de renoms, Olivier Degorce, Meyer et Cha Gonzales, témoins privilégiés, scrutateurs aiguisés et acteurs volontaires de ces soirées électro en France, sont retracés les origines et l’héritage culturel de cette contre-culture musicale et sociétale. Cette exposition est le fruit d’un projet construit par trois étudiants à la Sorbonne Nouvelle  ayant pour objectif de « conjuguer différents regards sur l’univers de la rave afin de rassembler les générations qui s’y sont impliquées ». Autour des clichés photographiques, ces sont des bandes sons originales qui ont été concocté spécialement pour ce rendez-vous, le tout parsemé de rencontres et d’échanges autour du mouvement rave. Derrière cette mise en lumière, le collectif veut déconstruire le discours alarmiste et les faux-semblants qui attisent l’imaginaire populaire autour des raves et surtout montrer que ces fêtes sont la quintessence de la liberté et du droit à faire la fête. Un cri dans la noirceur actuelle qui touche les teufeurs, privés de tout par la crise sanitaire.
    Infos sur l’event Facebook.

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  • Le nouveau duo d’Eddy De Pretto et Julien Doré fonctionne plus que bien ! Entêtant, touchant et très bien construit, avec un clip captivant, Larme Fatale fait du bien aux oreilles en ce début de saison hivernale.  « Le temps d’un titre, nous avons formé un combo de deux artistes hypersensibles qui ensemble viennent chanter leur simplicité, leur amour, leur douceur et, ouais, une certaine sensualité, explique Eddy. Pour Julien Doré aussi l’évidence était là : « C’était un sentiment étrange d’entendre Eddy prendre en charge mes paroles. » Il me racontait des choses qui semblaient avoir été écrites par une autre main que la mienne. ». En plus d’être sublime, la chanson est charitable car l’intégralité des revenus de Julien Doré sur cette réédition de l’album Aimée seront reversés à l’association Les Blouses Roses, qui vient en aide aux enfants hospitalisés et aux personnes âgées en Ehpad.

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