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  • On l’a découvert garçon sensible dans la série « Dix pour cent », puis garçon chiffon dans son film éponyme. Nicolas Maury s’essaie à la chanson avec « Prémices », balade romantique dont le clip reprend les codes des chansons américaines des années 50, le tout en noir et blanc. Nicolas, ouvertement gay, s’y montre dans les bras du modèle Marin Fabre. On ne sait pas encore si un album suivra ce single. Clip à voir ici.

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  • Qu’on est loin de 2003 et du jeune interprète de « L’Orange du Marchand» de l’époque de la Star Ac’ sur TF1. Michal Kwiatkowski a fait un bon bout de chemin depuis tout ce temps. Après de nombreux projets musicaux, de collaborations et d’albums, il remonte sur la scène du théâtre de L’œuvre à Paris, le 6 juin à 20h dans un spectacle en tête-à-tête avec un piano où il se raconte sans retenue. La Pologne, son pays, son enfance, son adolescence, l’homme et l’artiste qu’il est devenu en 20 ans de vie en France, il passe au tamis ce qui l’a marqué. Ponctuant son récital de reprises, de morceaux tirés de ces précédents albums, le pianiste, chanteur, compositeur se veut authentique et intimiste, se livrant à coeur ouvert…
    Infos ici.

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  • Après plus de deux ans d’absence, la mythique soirée gay italienne Gorillas qui distille du bon son électro house et progressive revient les 20 mai et 17 juin. Après un dernier passage au Dépôt en janvier 2020, toute l’atmosphère électrique va s’emparer du Faust pour une nuit de folie douce, musclée et très poilue.  

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  • Retour au Rexy

    Il n’y a pas qu’after, il y a aussi before au 9 rue de la Grande Truanderie. Depuis la réouverture des discothèques, le Rexy a revu sa copie et propose de nouveaux rendez-vous du jeudi au samedi soir, avant bien sûr le célèbre after parisien La Secrète : Crazy Sexy le vendredi, Glitter party le samedi. Infos ici.

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  • A seulement 23 ans le jeune chanteur promet de faire sensation dans la section des Inouïs au prochain Printemps de Bourges. Pop, moderne, mais aussi pleins de références à la chanson françaises, ses titres ne sont pas sans rappeler ceux de Clara Luciani. Autodidacte, le jeune homme n’a appris la guitare qu’à 17 ans grâce à des tutos YouTube, puis le piano… pourtant lorsqu’il chante on peine à croire que sa formation n’est pas lyrique mais circassienne. Défense, son nouveau single, sent bon le non-binaire et le queer : « C'est quelque chose que j'applique dans ma vie de tous les jours. Je porte du vernis, je me maquille, je peux porter des chaussures à talons... J'ai envie de jouer avec ce côté genderless et androgyne. Je veux jouer avec les codes de la mode et pouvoir en faire une vraie proposition artistique. ». Oete n’est pourtant pas un chanteur militant (hormis peut-être pour son titre HPV) : « Pour moi, ma sexualité a la même importance que la couleur de mes yeux, ma taille ou ma pointure. Est-ce que le fait de faire 1m72 influence ma musique ? Non. Mais c'est certain que mon vécu en tant qu'homosexuel a pu me faire intérioriser des névroses, des carences, des souffrances qui vont ressortir en musique. ».

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  • Retour de la Love Parade à Berlin

    Show, Manifestation

    Strobo vous l’avait déjà annoncé il y a quelques mois : après 12 ans de disette, la Love Parade revient le 9 juillet à Berlin. Devenue le 2ème plus grand rassemblement musical mondial après le Carnaval de Rio, 2010 l’avait marquée au sang lors d’un mouvement de foule mortel. Les organisateurs ont récemment lancé le « Fundraving », une collecte de fonds ouverte aux ravers du monde entier qui a récolté 400 000 euros. 1 million de personnes sont attendues dans les rues de la capitale allemande. Infos ici.

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  • Alors que le nouveau titre de Kiddy Spread it met le feu aux dancefloors et que le monsieur offre une leçon de voguing dans les pages du Vogue Paris, c’est à Montpellier qu’il réserve l’une de ces premières dates de concerts. Entouré de ces danseurs, il va ambiancer la Halle Tropisme, une ancienne friche militaire transformée en espace culturel. Cloakroom invite Kiddy le 7 mai à un DJ set de folie… A ne manquer sous aucun prétexte. Infos ici.

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  • Berghain 3.0

    Pour les fanas des soirées berlinoises subversives, endiablées et pourtant si merveilleuses, un site internet a regroupé 13.000 tracks joués au Berghain et au Panorama bar. Dropped-in recense tous les morceaux du club trouvés sur Youtube et Soundcloud. Une option de recherche permet de trouver rapidement son artiste ou DJ préféré. Tout est gratuit ! Histoire de se souvenir ou se donner envie de la scène électro de la capitale allemande.

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  • Starmania 2022

    En 1978 un disque fait sensation :  Stramania. L’année suivante, l’adaptation sur scène en Opéra Rock par Michel Berger et Luc Plamandon remporte un succès hors norme. La première comédie musicale créée en français vient de voir le jour.  2 actes, une pléiade de chansons et de thèmes qui bercent nos mémoires s’empare du public, le tour est joué. Starmania est adapté, part en tournée, remonté, représenté. C’est la Scène Musicale qui accueillera l’événement musical de l’automne 2022 avant de repartir sur les routes de France à compter dé février 2023. Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte. Infos et résa ici.

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  • Nouveau venu dans l’univers de la pop LGBTQ+, le jeune Nicky Buell, fraîchement débarqué de Seattle commence à faire parler de lui bien au-delà des frontières américaines. Gay assumé jusqu’au bout des ongles, le jeune homme peroxydé nous délivre une pop déjantée et éclectique, teintée d’électro, qui ne serait pas sans nous rappeler un Bieber furieux biberonné à Justin Timberlake. Visuellement aussi, le moins que l’on puisse dire et que ça claque ! Son dernier clip « Boy Crazy » (sic) se fend de son lot de clichés prévisibles mais plutôt addictifs : univers halloweenesque, make-up outrancier, poses lascives et corps offerts aux mains enamourées. Si l’on peut, une fois encore, regretter l’usage un peu extrême de l’auto-tune, il demeure finalement un titre apte à enflammer les dancefloors.

    Né dans un milieu plutôt conservateur, le jeune Nicky est un autodidacte pur et dur. C’est à l’âge de douze ans qu’il fait l’acquisition de son premier clavier dans une friperie de Seattle. A l’adolescence, en lutte contre son homosexualité, il compose ses premiers titres sous forme de catharsis. C’est donc à la musique qu’il devra son salut, assortissant son coming-out d’un premier single baptisé « Thirsty ». De son propre aveu, s’assumer en tant qu’artiste gay fut une véritable libération.

    Fan de Billie Eilish, Ariana Grande, Remi Wolf et Bren Joy, Nicky Buell n’a qu’un seul souhait : que sa musique soit une validation de son identité queer et, par extension, que les filles et les garçons, quelque soit leur orientation, puisse danser et chanter sur sa pop libératrice. Un conseil qu’ils devraient être nombreux à commencer à suivre… L’avenir nous le dira !

     

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  • Ce beau livre de Mark Blake, journaliste rock, illustre de belle façon le roman de la vie du chanteur de Queen. De sa naissance en 1946 à Zanzibar jusqu’à sa mort tragique du sida en 1991, l’ouvrage-hommage présente beaucoup de photos et documents inédits. Il n’y en aura jamais trop pour Farrokh Bulsara (son nom de naissance).

    39€, éditions Place des Victoires.

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