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  • Joggouines

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    Voici une belle initiative du Fonds de Dotation Lesbien d’intérêt général (LIG) : courir régulièrement en région afin de renforcer la visibilité lesbienne et de favoriser le dialogue avec les habitants. Organisme à but non lucratif, géré à titre bénévole, la LIG a été créée pour financer les initiatives, encourager les projets et agir pour l'affirmation individuelle et collective.
    Infos ici.

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  • La marque de vêtements de sport Patagonia a produit un documentaire pour sensibiliser la communauté outdoor à la cause LGBTQIA+. Le film suit Lor Sabourin, grimpeu·r·se transgenre, dans les canyons de l’Arizona. L’escalade est le moyen d’explorer son identité et de trouver la force mentale nécessaire pour surmonter tous les obstacles rencontrés au cours de sa vie. Fort·e de son expérience, Lor est parvenu·e à créer une communauté de grimpeurs sensibles à son histoire pour libérer la parole. A voir ici.

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  • Du 3 au 5 juin, le Tournoi International de Paris va mettre à l’épreuve les sportifs LGBTQIAP+ dans une succession de rendez-vous sportifs. Avec une marraine de haute voltige qui convole avec la Fédération Sportive LGBT+ pour cette 16e édition, puisque c’est l’athlète paralympique en cyclisme Marie Patouillet (double médaillée de bronze aux jeux à Tokyo sur piste et sur route, double vice championne du monde en titre sur piste). Elle prépare activement les Jeux Olympiques de Paris 2024. Depuis son retour des jeux, elle prend régulierement la parole sur les discrimination LGBT+ et sur les discriminations de la femme dans le sport de haut niveau.
    Infos ici.

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  • Le tournoi international LGBT et hétéro friendly de Rennes se déroule le 6 et 7 mai dans la capitale bretonne. Au programme : badminton, course d’orientation à vélo, rallye urbain, squash, volley. Un apéro d’accueil le vendredi et une soirée de clôture le 7 sont prévus pour les 350 athlètes attendus et les supporters. Infos ici.

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  • La capitale des Gaules a remporté la mise face à Londres. Ces olympiades européennes LGBTQIA+ auront lieu du 23 au 26 juillet 2025. D’ici là, ce sera à Nijmengen (Pays-Bas) cette année, Bern (Suisse) en 2023 et Vienne (Autriche) en 2024. Infos ici.

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  • La Fédération mexicaine de football (FMF) teste un dispositif pour facilement repérer et pénaliser les supporteurs homophobes, avec un QR code sur les billets. Elle tente de combattre une homophobie verbale très répandue dans les stades du pays.

    Le dispositif sera testé sur une jauge plus élevée de 35 000 à 40 000 personnes le 24 mars lors du match au sommet contre les Etats-Unis, dans la course au Mondial 2022. 

    Le Mexique avait déjà payé une amende et joué à huis-clos contre la Jamaïque sur décision de la Fifa. Au total, la FMF a reçu 17 amendes. De plus, le président de la FMF s’inquiète de l’image du Mexique, co-organisateur du Mondial 2026 avec les Etats-Unis et le Canada. Cette mesure est elle venue contrainte et forcée ? A suivre…

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  • La fédération de natation américaine a décidé de durcir les conditions de participation des athlètes transgenres. Suite aux très bons résultats de la nageuse Lia Thomas sur la saison universitaire, la polémique enfle aux USA. Ceci bien que la jeune nageuse de 22 ans a pourtant bien respecté les règles éditées par la NCAA, l’autorité sportive universitaire, en se soumettant à un traitement de suppression de la testostérone d’un an. Malgré cela, certaines organisations, comme le Women’s sports policy working group, ont jugé ces règles insuffisantes, notamment dans le cas où une athlète a entamé sa transition après la puberté. Désormais dans un souci d’équité avec l’ensemble des sportifs, il sera appliqué de nouvelles règles en fonction du niveau de qualification. Pour les élites, il devra y avoir la preuve que le développement physique antérieur de l’athlète, en tant qu’homme, et bien qu’atténué par une intervention médicale, ne donne pas à l’athlète un avantage compétitif par rapport à ses concurrentes féminines cisgenres â€‹(personnes s’identifiant à leur sexe biologique à sa naissance). Et dans un second temps amener la preuve que la concentration de testostérone dans le sérum de l’athlète a été inférieure à 5 nmol/L de façon continue pendant une période d’au moins trente-six mois avant la date de la demande. Pour Lia, elle est coupée dans son élan, privant du même fait les USA d’une championne.

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  • Que c’est beau un beau baiser entre amoureux devant des manifestants anti homos ! Le lutteur américain Anthony Bowens marque son engagement grâce à cette photo publiée récemment sur Instagram, lors d’une manif’ contre le mariage gay. Le post : « dressons-nous contre la haine ! » Accompagne le cliché. Vu les biceps du jeune homme, aucun opposant ne s’est risqué à les séparer…

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  • Une première dans l’histoire des Gay Games. La Fédération en charge de l’équivalent des JO LGBTQI a annoncé que l’édition 2023 se déroulera dans deux villes hôtes. Originellement, c’était seulement Hong Kong qui s’était vu attribuer l’organisation de l’événement sportif accueillant des délégations du monde entier. Mais les défis dûs à la pandémie de Covid et l’importance de compter le maximum de participants a motivé la structure à plus de souplesse dans ses choix. Ainsi, la ville mexicaine de Guadalajara, finaliste malheureuse de l’édition annulée de 2022, a été repêché pour être la seconde ville d’accueil à l’automne 2023. Des discussions sont actuellement en cours pour définir le cadre de cette nouveauté et garantir le succès des Gay Games comme ceux de 2018 à Paris qui avait rassemblés plus de 10 000 athlètes.

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  • C’est un record qui fait chaud au coeur, d’autant plus dans un pays qui n’est pas réputé pour sa bienveillance envers la communauté LGBTQIA+, loin s’en faut ! 35 athlètes officiellement LGBT ont participé aux olympiades d’hiver. Une première : Timothy Le Duc est la première personne non binaire à participer, pour l’épreuve des couples de patinage artistique avec sa partenaire Ashley Cain-Gribble.

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  • Ce préjugé vient du jogo do bicho (jeu de la bête), loto clandestin apparu à la fin du 19ème siècle à Rio, et toujours pratiqué.

    Chaque parieur doit choisir une case représentée par un animal, le 24 étant celui du cerf, associé à l’homosexualité dans la culture populaire brésilienne, parce qu’il appartient aux espèces animales dont les mâles peuvent avoir des relations sexuelles entre eux. Et ça va encore plus loin : certains hommes refusent de s’asseoir sur le fauteuil 24 au théâtre ou au cinéma, de vivre dans l’appartement 24 d’un immeuble ou utilisent des bougies 23+1 pour fêter leurs 24 ans. Au début de la saison, seules quatre des équipes de la première division nationale avaient des joueurs portant le numéro 24.

    L’ONG Grupo Arco-Iris, qui lutte pour le respect des droits de la communauté LGBT, a pointé du doigt récemment l’absence d’un numéro 24 dans l’équipe de jeunes de Flamengo inscrite lors d’un tournoi. L’association a attaqué le club de Rio de Janeiro en justice, mais l’affaire a été classée, pour absence de preuve de pratique discriminatoire. Habituellement, le problème ne se pose pas, les équipes nationales étant autorisées à amener seulement 23 joueurs lors des tournois.

    Mais lors de la Copa America, disputée en 2021 au Brésil, chaque équipe pouvait appeler jusqu’à 28 joueurs, en raison de la pandémie de Covid. Toutes les sélections se sont présentées avec un numéro 24, sauf le pays-hôte.

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