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  • Revenues sur le devant de la scène, en grande partie grâce à Drag Race, les drag queens se déclinent à toutes les sauces, telles des produits dérivés. Après le bingo drag, le drag quiz le lip sync battle, voici le drag catch ! Ce n’est pas une plaisanterie, mais bien le premier show de catch proposé par la première drag queen catcheuse de France, Jazze Parry.
    Drag Attack Wrestling s'associe avec l'association Paris Lutte dans le cadre des 25 ans de l’association le 19 octobre au Virage. Insolite !
    Le Virage, 26 rue Hélène et François Miron, 75017 Paris.

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  • Marseille: Le Centre LGBTQIA+ a besoin de vous !

    lesbiennes, gay, transgenres, bisexuel.le.s, Queer

    L’association a pris un très bon départ l’année dernière. Il faut dire que cette structure a répondu a de nombreuses attentes communautaires. Pour l’aider à continuer, adhérez ! Le montant est libre. 
    Et surtout, comme toutes les bonnes volontés sont bonne à prendre, n’hésitez pas à proposer un peu de votre temps, de vos connaissances et de votre énergie…
    Adhésion ici.
    Agenda du Centre ici.

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  • Insensé. Le samedi 21 septembre 2024, Paul, 17 ans, s’est fait lyncher à Mazamet dans le Tarn. La raison est simple : il est homosexuel. Le quotidien régional La Dépêche du Midi relate dans ses pages au lendemain de cette agression, le calvaire du jeune homme passé à tabac. Cet après-midi, il le passe avec Emma, une de ses amies. Ils croisent une fille, « vague connaissance » qui s’enquiert de savoir s’ils sont en couple. Paul dit non et argumente en expliquant qu’il « aime les garçons ». 
    La réponse va provoquer ce déferlement de violence. La fille appelle « des cousins » selon le récit du journal et une dizaine de jeunes gens de 13 à 20 ans s’en prennent à Paul. Sa meilleure amie qui s’interpose va prendre aussi des coups. L’intervention d’un trentenaire va faire fuir les assaillants. Ils se réfugient dans la gare de la ville. La police les prend en charge et les emmène au commissariat. Mais la pression continue. Des membres du groupe les ont suivis. Trois filles et un garçon sont mis en garde à vue. Mais ça ne s’arrête pas pour autant puisque lorsque Emma et Paul sont conduits aux urgence de l’hôpital de Castres, une femme issue de l’une des familles des agresseurs pénètre dans l’établissement médical et approche Emma pour lui poser des questions et leur préparer un comité d’accueil. L’équipe médicale alertée prévient la police pour sécuriser les lieux. Depuis une enquête a été ouverte et les élus comme les habitants de la ville se sont réunis samedi 28 septembre pour soutenir les victimes et dire « non » à l’homophobie.

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  • Depuis de nombreuses années, cette salle d’art et d’essai programme des oeuvres de qualité, souvent LGBTQIA+. La spéculation immobilière pourrait avoir raison de ce lieu culturel alternatif. Les propriétaires des murs ne souhaitent pas renouveler le bail locatif, peut-être pour en faire une énième boutique de fringues qui gangrène le quartier, le transformant en centre commercial de luxe et tuant à petit feu la vie de quartier. La mairie apporte son soutien, si vous voulez apporter votre petite pierre à l’édifice, signez la pétition.
    https://linktr.ee/luminormenac

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  • La nouvelle direction de ce cabaret transformiste mythique des nuits parisiennes avait dû mettre la clé sous la porte en juillet dernier. Nous venons d’apprendre que le comédien Gad Elmaleh a remporté le fonds de commerce en liquidation judiciaire. Cependant, il n’a pas racheté la marque Chez Michou. Catherine Catty-Jacquart, la nièce de Michou, se réjouit de la nouvelle : « on aurait été malheureux que le lieu devienne autre chose qu’un cabaret. Ça ne s’appellera plus Chez Michou, mais Gad va en faire un très bel endroit. C’est une très bonne chose de tourner la page, en prenant un virage. »
    Si le lieu reste une salle de spectacle, on ne sait pas encore pour l’instant ce qu’il en adviendra. Alors on peut se mettre à rêver de voir sur scène la célèbre Chouchou, incarnée par l’humoriste sur grand écran. Ce serait un joli pied de nez…

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  • Trois personnes, mineures au moment des faits, ont été condamnées pour des faits de violence en réunion, avec circonstances aggravantes à caractère homophobe. Par deux fois, ils ont tendu un guet-apens à leurs victimes, via une application de rencontre. Identifiés grâce à la vidéosurveillance urbaine et à leur ADN, ils ont été reconnus coupables et connaîtront leur peine en avril 2025. L’une des victimes a souhaité quitter l’île, déclarant : « je n'ai jamais caché mon homosexualité. Mais ici, j'ai le sentiment qu'il faut le faire. »

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  • Le collectif dragnini soutient la scène drag et innove : après le barathon (tournée drag  d’un soir dans une dizaine de bars), il propose de laisser la scène aux drag seniors de l’associations les Audacieux.ses. Les membres collectent des fonds afin de soutenir la création de résidences seniors LGBTQIA+. We are audragcieux.es, cette journée caritative aura lieu samedi 19 octobre.
    Infos et lieux ici.

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  • Ce café-théâtre lyonnais laisse place aux paillettes et aux strass chaque Jeudi Folies avec une belle palette de queens. A vous de choisir votre jeudi préféré. Sinon, pour les quinquagénaires en mal de rencontres, il y a aussi Comment draguer après 50 ans, un tuto en forme de comédie qui peut toujours servir.
    26 rue de l’Annonciade, 69001 Lyon. www.accessoire-cafe-theatre.fr

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  • Une affaire exceptionnelle a été jugée au tribunal d’Amiens : un père et une mère ont été condamnés pour avoir insulté de manière répétée leur fils adolescent, désormais majeur. On épargnera au lecteur les violences verbales et physiques subies par Lucas lorsque ses parents ont appris son homosexualité, tant elles semblent d’une époque révolue. Et pourtant nous sommes bien en 2024 !

    Que l’exception devienne règle, trop de victimes d’homophobie se taisent, subissent, avec des séquelles psychologiques parfois irréversibles.En l’occurence, les parents ont été condamnés à de la prison avec sursis probatoire, une obligation de soin et l’indemnisation de la victime, qui s’est enfuie du domicile familial à sa majorité.

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  • Saioa, Camille et Maïwenn recherchent toutes les bonnes volontés pour créer une émission de « culture queer, la culture avec un grand C : art, culture, littératures, sciences, actualité, sports, etc. » Monteur.euse, créateur.rice sonore, mais aussi chroniqueur.euses, l’envie vaut autant que l’expérience.
    On peut les contacter via : radioculturequeer@gmail.com ou instagram.com/qulture_radio.

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