
Commercialisé sous le nom Sunlenca, ce traitement révolutionnaire qui ne nécessite que deux injections par an chez les personnes infectées par le VIH et qui serait être utile en prévention PrEP, pourrait « changer la donne », si son prix n’était pas si exorbitant.
Voilà pourquoi, des personnalités telles que d’anciens chefs d’États, des acteurs et des chercheurs telle que Françoise Barré-Sinoussi, co-découvreuse de ce virus dans les années 1980, demandent expressément au groupe pharmaceutique Gilead de rendre cette nouvelle théraphie plus accessible.
En France, son prix dépasse les 21 000 €. Un montant si élevé que ce traitement qui pourrait endiguer l’épidémie est juste incompatible avec l’objectif 2030 de fin de l’épidémie à VIH.

À la suite d’un rapport rendu public le 29 août 2024, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) tire la sonnette d’alarme sur la situation préoccupante autour de la santé sexuelle des jeunes. On y constate une baisse notable de l’usage des préservatifs. Ce qui signifie que les adolescents européens âgés de 15 ans se protègent moins lorsqu’ils ont une sexualité dite active, ce qui entraîne de facto une augmentation des risques de transmission d'IST et de grossesses non désirées.
Le Conseil d’État a tranché. Sniffy, la poudre énergisante blanche à sniffer avec une paille, a été formellement interdite à la vente en France. Fin juillet, la ministre démissionnaire de la Santé, Catherine Vautrin, avait demandé la suspension du produit. La société le commercialisant, Power Factory, avait fait un recours dans la foulée.
Entre juin et juillet, à Toulouse, 10 individus interpelés, 2 autres à Compiègne (dont 8 mineurs au total) : ce serrage de vis intervient dans la foulée de la fermeture du site Coco, fréquemment utilisé pour des agressions à caractère homophobe.









En ce début d’année, le nombre de personnes infectées par le Mpox a doublé aux Etats-Unis par rapport à la même période en 2023 annonce vih.org. 511 cas de Mpox ont été recensés aux États-Unis, selon les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), contre moins de 300 cas fin mars 2023. Cette résurgence viendrait de la levée de l’état d’urgence de santé publique et d’un protocole vaccinal incomplet chez nombre d’américains. Les experts appellent à renforcer la couverture vaccinale pour prévenir une nouvelle vague épidémique. La vigilance est de rigueur notamment à la veille de la saison des Prides. L’état de Virginie a notamment diffusé une note pour « faire savoir qu’il existe toujours un risque lié à ce virus » et « donner aux gens le temps de se protéger ».
Au regard des premiers retours sur la première dose d’injection du vaccin Gardasil 9 utilisé pour la campagne de vaccination dans les collèges contre les HPV, il apparaît qu’aucun signal de sécurité n’a été détecté. Les cas déclarés sont majoritairement des effets post-vaccinaux connus et non graves de Gardasil 9.