
Le 4 avril, le Conseil des droits humains des Nations Unies a adopté une première résolution condamnant les discriminations et violences régulièrement subies par les personnes intersexes. L’instance onusienne préconise « la rédaction d’un rapport mondial détaillé, afin de déconstruire les mythes et clichés, et veiller à ce que ces enfants puissent grandir », explique le site Stop Homophobie.
D’après les retours d’experts, jusqu’à 1,7 % de la population mondiale naît avec des caractéristiques intersexuelles, c’est-à-dire qui ne correspondent pas aux définitions classiques du masculin et du féminin. Souvent des interventions médicales sont pratiquées à la naissance et dans l’enfance pour imposer une identité, un genre. Jugées « inutiles », elles sont à risque pour les personnes intersexes. Il est recommandé de les différer afin qu’elles puissent prendre leurs propres décisions en toute liberté. Ce texte est une avancée qualifiée d’historique pour toute une frange de la communauté LGBTQI !

Le 11 avril 1994 une vingtaine de personnes dans la tourmente de l’épidémie de SIDA qui s’abattait en France, créait SOS Homophobie. De toutes les luttes, le crédo de SOS Homophobie reste inchangé : prévenir, soutenir et militer ! De la ligne d’écoute destinée à aider et soutenir les victimes de l’intolérance et de la haine aux différents combats livrés pour les droits des LGBTI, la mobilisation est permanente.
Le célèbre club va bientôt renaître de ses cendres. Après un an et demi de fermeture pour cause d’immeuble insalubre, les travaux vont bientôt commencer. En attendant, on peut toujours retrouver l’équipe lors de soirées mensuelles aux Docks des Suds. 
En 2022, un homme d’origine iranienne avait ouvert le feu sur 2 bars lors de la Marche des Fiertés locale, faisant 2 morts et 9 blessés. Son procès, qui s’est ouvert en mars, doit déterminer s’il s’agit bien d’un acte terroriste, car l’homme avait fait allégeance au Groupe Etat islamique. D’autre part, des doutes planent encore sur sa santé mentale. Qui plus est, il a plaidé non coupable des faits qui lui sont reprochés.
Au cœur de Calais, La Tram Bar se distingue comme un bar et pilier de la vie locale LGBTI friendly mais c’est d’abord à distance qu’on en entend parler, tant il est un modèle de dynamisme pour les gens qui le suivent, ébahis, que ce soit en région ou au delà! Ce bar gay friendly, fondé en 2020 par Martial Toulotte, n’est pas seulement le seul bar friendly sur la côte, mais un vrai véritable carrefour culturel où se rencontrent les clients et les passionnés de chanson. La Tram Bar est réputé pour son accueil (très) chaleureux, chaque visiteur, qu’il soit gay, lesbien, bi, trans, ou hétéro, se sent immédiatement à l’aise.
On pourra profiter d’un dimanche 2 en 1 à partir du 21 avril. Tout d’abord un brunch bistronomique à partir de 13h, avec des drag shows de Soa de Muse, Alice Psycho et Norma Bell. Ensuite, pour éliminer tout ça, on enchaîne sur un tea dance à partir de 17h. Une bien meilleure idée que de glander devant Netflix !, 173 rue Saint Martin, 75003 Paris.
Campinkcosmos et Bazaar St-So s’associent pour vous présenter le Teapot & Donut Festival, un événement unique qui célèbre la culture drag et artistique avec une programmation riche et variée. Le festival se tiendra sur deux jours, du vendredi 24 mai de 16h à 1h, au samedi 25 mai de 12h à 2h, à Lille.
Les soirées Khaos font leur grand retour pour votre plus grand plaisir ! Préparez-vous à une nuit mémorable où les stars seront à l’honneur.
S’il y avait un seul jour dans l’année pour aller dans ce lieu hors du commun, c’est bien le jour de son 7ème anniversaire. Cette année, ce sera le dimanche 4 mai. A partir de 12h, un open air est prévu sur les rails de la petite ceinture, avec DJs et performances circasiennes. Puis dès 23h, on passe dans la gare pour finir avec du bon son jusque’à 5h. 128 avenue de Saint Ouen, 75018 Paris.
Déjà 20 ans que Jean-Luc Caron a créé THE after. A l’époque, ça se passait sur les Champs Elysées. Depuis, on les a laissés aux touristes pour investir dimanche 28 avril le Fawa de 14h à 21h, plutôt en mode tea dance. Côté line up, on retrouve bien sûr John Dixon, mais aussi Alejandro Alvarez (Cologne). 11bis place Auguste Baron, 75019 Paris.