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  • Transcendance

    La Transcendance est une soirée spéciale et unique en son genre dans un bar, par et pour toutes les personnes Trans-identitaires. Echange et convivialité en sont les maîtres-mots ! Transwomen, Transmen & Non-Binaires, c’est votre soirée ! En plein cœur du Marais, au bar le Mange-Disque, situé au 15 rue de la Reynie, Paris 4, au métro Châtelet. Un lieu LGBTQI+, charmant, inclusif et safe avec sa superbe déco retro-pop 70’s et sa belle terrasse. Pour échanger et se faire de nouveau.elle.x.s amie.is ! Ami.e.s & allié.e.s trans-friendly sont les bienvenu.e.s, bien-sûr ! Pour que le « T » dans «LGBTQI+ » brille de mille feux ! Soyons Transcendant.e.s ! Passons à la Transcendance ! Prochaine soirée le samedi 18 décembre.

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  • Nos vies...

    Cette pièce est un OVNI. « Nos vies », mise en scène par Guillaume Antoniolli, est un assemblage de plusieurs textes extraits d’œuvres magistrales de la littérature. Chaque texte nous transporte successivement dans un nouvel univers et nous offre un message différent. En fait, chacun de ces tableaux est une gourmandise que l’on absorbe bien volontiers. Un peu comme si l’on venait faire le plein de petits bonheurs.

    De Margueritte Duras à « Roméo et Juliette » de Shakespeare (interprété par deux femmes), de Jean-Luc Lagarce à Rodrigo Garcia, … tout est différent et si complémentaire à la fois. Et tout s’articule formidablement bien pour une conclusion détonante.

    « Nos vies » est une petite folie militante, avec un vrai jeu d’acteurs dont le bonheur de pouvoir à nouveau monter sur les planches nous saute à la figure. La compagnie Les Hommes perdus nous offre avec « Nos Vies » un spectacle drôle et construit. C’est à la fois intelligent et déjanté, vous avez compris : on a adoré !

    Théâtre Pixel 18 rue Championnet Paris 18. Tous les vendredis à 21h30

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  • O Positif.ve, un nouveau collectif, a lancé un nouveau type de clubbing en octobre 2021.

    Il compte s’attaquer aux problé-matiques du monde de la nuit : violences, racisme, sexisme, homophobie, lesbophobie, transphobie et toute forme de non-consentement qui s’observe constamment en soirée.

    Avec une véritable volonté de changer les mentalités et de responsabiliser les organisateurs, des intervenants identifiables se baladent parmi les clubbers. Au moindre comportement inapproprié, ces derniers peuvent ainsi les solliciter.

    Pour toutes questions relatives à la consommation de drogues, l’association l’Amicale a un safe space. O Positif.ve s’engage aussi à sécuriser la sortie de club, en organisant des départs groupés à horaires déterminés. Un line up pointu vient chapeauter le tout.

    Plus d’infos ici

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  • Férus de ciné, ne ratez pas CinéMode, l’exposition imaginée à la Cinémathèque de Paris par l’enfant terrible de la mode française Jean-Paul Gaultier. Jusqu’au 16 janvier 2022, JPG vous fait voyager au cœur de l’histoire croisée entre la mode et le 7e art. En cinéphile passionné, le designer à la marinière convoque les grands stylistes et les plus célèbres noms du cinéma pour une rencontre faite de magie, d’audace et de fantaisie. Il dresse un tour d’horizon des films et des représentations qui l’ont influencé. « Sexualiser les corps, féminiser les silhouettes masculines, valoriser les femmes puissantes », le créateur livre une vision du Macho man et de la femme fatale, nous entraine vers un homoérotisme prégnant et une androgynie revendiquée, qui brise les tabous, ose défier les convenances dans un hommage d’images et de paillettes.

    Infos ici

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  • Drag Race France

    concours

    L’annonce est tombée le 17 novembre 2021 sur les réseaux sociaux : RuPaul’s DragRace, le plus célèbre concours de Drag Queens arrive enfin en France. C’est Raphaël Cioffi, l’auteur de la pastille humoristique de Canal + «Catherine et Liliane» qui l’a annoncé et en aura la charge. Après les Etats-Unis, Canada, l’Italie, L’Angleterre et l’Espagne, la France rentre donc dans la shortlist au grand bonheur des inconditionnels fans. Le concept reste inchangé par rapport aux éditions étrangères, même si le made in France aura toute sa place avec notamment l’incontournable Lip Sync borné à des titres français ou encore le Snatch Game. Ce qui est certain, c’est qu’au fil des semaines, les drags se défieront dans des défis mettant en avant leurs talents, leurs arts, leur sens du décalage et de l’humour, mais aussi leur parcours personnel et leur militantisme.  Pour le moment ni le nom des juges, des drags participantes, des personnalités invitées, ni de la personne qui incarnera RuPaul n’ont pas été annoncés. On sait simplement que Jean-Paul Gaultier s’est dit intéressé. Pour ce qui est de la diffusion, vous pourrez suivre le contest sur la plateforme France.TV Slash. On a trop hâte que ça commence. On vous en dit plus, très vite !

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  • Ca ne dérangerait pas la ministre de la Diversité. « Ce n’est pas moi qui écris les règles de Miss France, mais pourquoi pas ? Ça manque d’inclusion, c’est certain » a avancé Elisabeth Moreno. Il y a deux ans, Sylvie Tellier, directrice générale de la société Miss France, avait déclaré qu’elle n’était pas opposée à la participation d’une personne trans et que ce n’était pas interdit par le règlement.

    Par ailleurs, Elisabeth Moreno a reçu Miss Trans France, après son couronnement au grand bal des Fiertés le 30 octobre. Artiste engagée réunionnaise, Louïz a remporté le titre, notamment pour son engagement militant et souhaite devenir « le porte voix de la condition des femmes trans dans la société et qui mettra en lumière la belle communauté LGBTQIA+ ». « On a prévu de travailler ensemble sur des projets à venir sur cette thématique. J’ai vraiment à coeur de sensibiliser les politiques. Je pense qu’il y a encore un gros travail à faire en matière d’accueil et de prise en charge des personnes LGBTQIA+, que ce soit dans les entreprises privées ou dans les administrations », a ajouté Miss Trans France.

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  • On reste dans une niche avec de superbes modèles roux, dont la chaleur ne laissera pas indifférent.

    Le site redhot100.com a d’ailleurs pensé à tout : pour accompagner le calendrier dans la hotte du Père Noël, dont il existe aussi des versions digitales, des posters, un très beau livre illustré et même des dessous chics signés « red hot ». Les roux comptent pas pour des prunes !

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  • Oubliez le calendrier des Dieux du stade, devenu presque trop classique, même s’il reste une référence. On préfèrera l’originalité et le naturel des 2 versions de l’association Les Ours Occitanie Méditerranée (LOOM). « Nous avons décidé de mettre en avant la différence et la diversité des corps. Nos modèles d’un jour (nos adhérents) se sont prêtés au jeu », a déclaré l’association.

    « La Plage des Ours » a pour thématique les jeux aquatiques, alors que « Des Ours » est plus intimiste. 15 € chacun.

    Plus d'infos ici

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  • Ce manuel est une invitation à s’ouvrir aux cultures queers ou à s’y reconnaître par le biais de la cuisine. Il réunit le verbe, la nourriture et la sexualité, avec humour et légèreté. Le verbe, d’abord, par ses recettes fondées sur des anecdotes littéraires et détournements de la langue : des jeux entre les mets et les mots, qui nomment et font donc exister une culture queer bien vivante. La sexualité, ensuite, envisagée comme un domaine rassembleur et décomplexé. La nourriture, enfin, avec des recettes économiques classées selon les saisons, facilement réalisables et aux penchants végétariens... et aux noms évocateurs.

    Braise-moi, de Emilie Bouvier, photos Anne Bouillot, Ed. Hétéroclite, 29€

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  • Têtu a donc choisi Bilal Hassani comme personnalité de l’année : « L’un des premiers homos visibles à la télévision française fut Jacques Chazot, dans les années 1970 – le premier danseur de ballet à évoluer sur les pointes, et en tutu, s’il vous plaît ! Ses performances ont fait de lui, écrivait TÊTU il y a déjà vingt ans, « l’incarnation de la folle parisienne ». Un mot, « folle », aujourd’hui lancé comme un reproche, voire une insulte par des hommes gays estimant ne pas être « représentés » par un Bilal emperruqué. Mais ce n’est pas le rôle de ce garçon d’à peine 22 ans, qui nous montre son talent tout en étant lui-même, et cela suffit. Car si une jeune personne se reconnaît dans Bilal, probablement seule dans ce cas autour de la télévision familiale branchée sur TF1, comme d’autres se retrouvent en Alice Coffin ou en Édouard Louis, en Amandine Buchard ou en Hoshi, en Nix Lecourt Mansion ou en Lil Nas X, c’est une victoire pour nous tous·tes. C’est ça, la représentation, et c’est pour ça que TÊTU a décidé de célébrer les personnalités LGBTQI+ ayant marqué leur domaine cette année. ». Néanmoins les réactions habituelles à l’encontre du chanteur ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux, y compris parmi la communauté, et le débat est reparti de plus belle. Sur la couverture, dans un esthétisme proche des photos de Pierre et Gilles, Bilal Hassani apparaît auréolé, les yeux vers le ciel et drapé comme une madone. Et c’est bien cette posture qui pose problème à Mediatransports, la régie publicitaire qui gère les affichages dans les gares parisiennes de la SNCF et les stations de la RATP qui a décidé de censurer la campagne d’affichage. Il y a encore du travail !                      

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