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  • Ce groupuscule intégriste, très actif lors des manifestations anti mariage pour tous, et qui s’est aussi illustré lors de l’annulation du concert de Bilal Hassani à Metz, est enfin dans le viseur du ministère de l’Intérieur, en raison de propos antisémites tenus lors de son université d’été. Cette association porte en son sein des membres pétainistes, intégristes catholiques, mais aussi farouchement anti LGBTQI+. A suivre…

    Bruno De
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  • Alors que Quimper est devenu la première ville d'Europe à se déclarer "zone de liberté" pour les personnes LGBTQIAP+, le passage piéton du pont Saint-François aux couleurs du rainbow flag qui avait été inauguré le 16 juin dernier, veille de la marche locale a été vandalisé à trois reprises.La municipalité a donc fait le necessaire et il a repris ses couleurs.

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Chassez le naturel… Le ministre de l’Intérieur a décrété un livre pour adolescents interdit aux moins de 18 ans. Bien trop petit, un livre pour adolescents qui aborde explicitement la sexualité, a donc été censuré au motif qu'il représenterait « un danger pour les mineurs ». Deux anciens ministres de la Culture, Aurélie Filippetti (PS) et Jean-Jacques Aillagon (ex-UMP) regrettent cette censure et que l'on ferme les yeux sur la sexualité des ados.

    Bruno De
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  • L'association En avant toutes a publié un rapport sur la situation des violences faites aux femmes et aux personnes LGBTQIA+ dans les territoires ultra-marins.

    Ces territoires, malgré la distance entre eux, présentent des similitudes : tabou, forte prégnance religieuse, tissu associatif fragile.

    Dans plusieurs autres territoires (Wallis et Futuna, Saint-Pierre et Miquelon, Guadeloupe) il n’existe pas de structures spécifiques pour les personnes LGBTQIA+, quand les maigres structures existantes en Nouvelle-Calédonie ou à La Réunion font face à des difficultés financières. Espérons qu’une partie des 7 millions d’euros promis par le gouvernement en juillet pour soutenir les centres LGBTQI+ passeront les océans…

    Bruno De
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  • Le ministre délégué aux Transports se place en opposant du gouvernement dont il fait partie. Il s’est déclaré favorable à la légalisation de la gestation pour autrui, alors même que le président de la République a clairement exprimé son rejet. En revanche, Clément Beaune estime que ça ne se fera pas pendant cette législature, ce point ne figurant pas dans les promesses électorales du candidat Macron en 2022. On retrouvera forcément ce sujet sur la table lors de la campagne présidentielle pour 2027.

    Bruno De
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  • Le ministre de l’Intérieur a décrété un livre pour adolescents interdit aux moins de 18 ans.

    Bien trop petit, un livre pour adolescents qui aborde explicitement la sexualité, a donc été censuré au motif qu'il représenterait « un danger pour les mineurs ». Deux anciens ministres de la Culture, Aurélie Filippetti (PS) et Jean-Jacques Aillagon (ex-UMP) regrettent cette censure et que l'on ferme les yeux sur la sexualité des ados.

    Bruno De
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  • Jamais en manque d’idées quand il s’agit de stigmatiser et restreindre les droits de la communauté LGBTQ+, Ron De Santis continue sur sa lancée ultra conservatrice. Le sénateur de Floride a lancé un projet de loi visant à laisser le personnel soignant refuser de soigner certaines personnes. Une clause de conscience qui pourrait permettre, par exemple, à refuser la prescription de bi/trithérapies à une personne vivant avec le VIH, voire une PrEP. Il s’était déjà attaqué aux livres à la mention de l’homosexualité dans les écoles et défié Disney et ses films jugés trop inclusifs. De Santis a des visées présidentielles et compte concurrencer Donald Trump en s’adressant à une frange très droitière des Républicains américains.

    Bruno De
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  • Le Parlement durcit un peu plus sa politique à l’égard des LGBTQ+ avec ce projet d’interdiction d’intervention médicale de changement de sexe. Le pays se caractérise par une persécution étatique des communautés depuis de nombreuses années : interdiction d’union et de « propagande ».

    Bruno De
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  • Les personnes LGBTQ + les plus vulnérables, notamment les migrant.e.s, les personnes transgenres, les autres personnes les plus précaires aussi, ont maintenant un lieu où ils, elles, iel.le.s seront accueilli.e.s avec toute l’écoute et la bienveillance nécessaire. Ce lieu, largement porté financièrement par la Mairie de Paris, est à la fois un lieu d’accompagnement (services, permanence, orientation) et un lieu culturel avec des expos et des débats. La bulle propose aussi des groupes de parole thérapeutiques et des cours de français. Ce nouveau lieu est gérée par sept associations militantes, ce qui permettra sans nul doute une mutualisation très efficace des compétences de chacune. La Bulle – 22 rue Malher, 75004 Paris.

    Franck Desbordes
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  • C’est l’une des principales revendications de nom-breuses associations LGBT. Les député·es de la France insoumise (LFI) ont présenté mercredi 5 juillet une proposition de loi pour réclamer de nouveau l’ouverture de la PMA aux hommes trans. « Les hommes transgenres, des personnes nées biologiquement femmes qui transitionnent vers le genre masculin et/ou fluide, disposant de capacités gestationnelles, ne peuvent pas avoir recours à l’AMP (assistance médicale à la procréation, aussi appelée PMA) pour le seul motif de la mention de leur sexe à l’état civil », a expliqué l’élue insoumise Ségolène Amiot, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, rapporte le site Komitid.fr. En plus de l’ouverture de la PMA aux personnes trans, le texte de Ségolène Amiot prévoit de sanctuariser l’auto-conservation des gamètes pour toutes les personnes.

    Cette proposition de loi ne figurait pas à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale et n’a donc pas pu être votée. Mais elle a le mérite de continuer à faire exister le débat.

    Xavier Héraud
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  • On se souvient tou.te.s de Frigide Barjot, rendue célèbre pendant les débats sur la loi sur le mariage pour tou.te.s puisqu’elle était la présidente de la Manif pour tous (aujourd’hui devenue « le syndicat de la famille »). Nous avions appris à cette période qu’elle occupait un vaste appartement loué à la ville de Paris, dans lequel elle menait ses activités « professionnelles » illégalement, le bail étant strictement un bail d’habitation. Elle en fut logiquement expulsée.

    C’est avec un grand bonheur que nous avons appris que cet appartement a été transformé en 8 logements destinés à recevoir 48 réfugiés LGBTQI+, gérés par l’association Basiliade qui a déjà beaucoup d’expérience en la matière, notamment avec la gestion d’appartements thérapeutiques. C’est en tous cas une belle victoire, pleine de symboles. Chasser la haine pour la remplacer par l’accueil de personnes vulnérables à qui la ville de Paris ouvre grand ses bras… même Frigide Barjot, catholique pratiquante, ne peut critiquer une telle charité. Amen.

    Franck Desbordes
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